Never leave me alone | Eden A. MacLegan [Finito Pepito !]

♦ Eden A. MacLegan ♦
« Derrière un sourire se cachent souvent des larmes »

Nom : MacLegan Prénom : Eden Alice Âge : 17 ans et toutes ses dents ! Sexe : Féminin, jusqu'à preuve du contraire. Clé : Clef de la météo Quel groupe ? : Détenteur naturel

♦ Description Physique ♦

Belle, belle, belle au naturel ~ ♪
Eden est une jeune fille tout à fait charmante, c’est indéniable. Commençons par le commencement : Son visage. Une peau lisse et douce, blanche comme de la porcelaine et sans imperfection par le plus grand des miracles, de grands yeux verts, des lèvres fines et pulpeuses, le tout encadré par une chevelure à la couleur des plus spéciales puisqu’elle est verte. Ses cheveux sont coupés plutôt courts, aux épaules. Une délicieuse odeur sucrée rappelant diverses fleurs et sucreries s’en échappe, doux et soyeux, c’est un véritable plaisir au toucher. Mais évidemment, Eden n’a pas qu’une tête. Le reste de son corps est bien proportionné puisqu’elle mesure à peu près un mètre soixante huit pour cinquante huit kilos. Elle a une poitrine correcte sans pour autant être gonflée à l’hélium ou être une planche à pain. Des courbes agréables à regarder, un ventre plat, de longues jambes, des doigts fins et longs, vraiment Eden a tout pour plaire. Ses tenues sont souvent féminines bien qu’elle s’habille de manière plus garçonne quelques fois. Généralement, on peut la reconnaître grâce à un objet qu’elle a toujours sur elle, à savoir une clochette qu’elle porte généralement en ras-de-cou, au poignet, avec un ruban écarlate, ou dans ses cheveux. Il est à noté qu'Eden porte des lunettes lorsqu'elle lit, ce qu'elle fait souvent et qui a d'ailleurs abimé sa vue.

♦ Description Mentale ♦

Bas les masques Pierrot ~ ♥
Lorsque l’on croise Eden, on pense à une jeune fille mature, réfléchit et sérieuse. Et bien… Pas du tout. Eden est encore une enfant dans sa tête. Elle court partout, sourit et rigole à tout va, chante, saute, tournoie, une véritable enfant. On peut penser qu’elle n’est pas finie mais là encore, vous faites erreur, car malgré ses apparences de bonne enfant, Eden sait être sérieuse. Lorsqu’elle est en colère, ce qui est assez rare tout de même, son regard devient tellement « noir » qu’il en est effrayant. Ca change radicalement. Mis à part ça, Eden aime les choses sucrées, les animaux avec qui elle a un très bon contact, les contacts physiques, la pluie et l’automne ainsi que les étoiles, les livres, la musique et la composition. Chacun ses goûts après tout ! Mais Eden est humaine, jusqu’à preuve du contraire, et a elle aussi des défauts. Le plus flagrant est sa maladresse sans fin et le second sa malchance. Elle a le don pour se mettre dans des situations improbables, comme être là lors d’une bagarre de rue et être accusée de tout alors qu’elle en faisait que passer. Aussi douée en orientation qu'un petit pois en plein centre de Paris, elle serait capable de se perdre avec une carte, une boussole et un guide touristique. Parfois, elle perd les pédales et se met à devenir ce qu’on pourrait qualifier de… Sadique. Non, elle n’est pas bipolaire, loin de là, juste un peu dérangée sur les bords. Bornée et impulsive, elle fonce tête baissée dans les pièges qui sentent l’arnaque à des kilomètres à la ronde. Cependant, cette jeune fille a dans sa manche un atout plus que particulier : Ses yeux. En effet, ces derniers lui permettent de tout savoir d’une personne en un bref instant. Certain appellent ça de l’analyse poussée, d’autre un don, elle, le savoir. Age, poids, taille, antécédent, bien que ces derniers soient flous, situation familiale, sociale, orientation sexuelle, secrets et parfois, bien que rarement, si elle est en présence d’un autre possesseur de clef, quel est son pouvoir. Mais elle a une chance sur mille d’y arriver car après tout, elle n’est pas médium ni clairvoyante. Aussi ne peut-elle pas savoir l’identité de la personne à qui elle parle ou qu’elle observe. C’est tout de même pratique, bien que parfois, ça rende la vie fade et maussade, sans saveur, mais elle ne contrôle pas ça, alors elle fait avec. Ayant également des peurs, la plus prononcée d'entre elle est son autophobie. Hop hop hop, je vous arrête tout de suite, ce n'est pas la phobie des voitures. L'autophobie est la peur d'être seul(e). C'est une phobie qui est plus courante qu'on ne le croit, et qui généralement n'est pas si problèmatique que ça. Généralement oui, car cher Eden, c'est tout autre chose. Ca commence par une respiration sacadée et des palpitations, quelques sueurs, puis s'en suivent des larmes et des cris et ça peut aller jusqu'à l'évanouissement. Aussi, que ce soit en ville ou chez elle, elle fait bien attention à ne jamais être seule, bien qu'au fond d'elle, ce sentiment de solitude persiste même lorsqu'elle est entourée.

♦ Histoire ♦

Once upon a time...~♛
« Dis Maman, pourquoi les étoiles brillent-elles ?
-C’est pour t’éblouir, mon enfant.
-Dis maman, pourquoi mes larmes coulent-elles ?
-C’est pour te prouver que tu es encore vivante, mon enfant.
-Dis maman, pourquoi les crépitements des flammes se percutent dans mes oreilles ?
-C’est pour mieux te faire souffrir en cet instant, mon enfant.
-Dis maman, pourquoi, doucement, ta main est en train de lâchée la mienne ?
-C’est pour te dire adieu, mon enfant.
-Dis maman, quelle est cette clef que tu cache en ton sein ?
-C’est ton dernier présent, mon enfant.»

Dans la nuit sombre et noire, éclairée par la seule lumière des étoiles, une famille se voit déchirée, rompue, et personne ne peut rien y faire. Le crépitement des flammes résonne dans la tête d’une enfant pendant que des larmes roulent sur ses joues. Elle est trop petite pour comprendre, elle n’a que six ans après tout. Alors elle regarde cette femme, allongée sur le sol, à moitié écrasée sous une poutre en feu, son regard devenant peu à peu vide.

« Dis maman, quelle est cette phrase que tu ne m’as pas assez dit ?
-Je t’aime…. Mon enfant…. »

Ses larmes perlent de plus belles sur son visage pendant que la main de la femme qui l’a mise au monde quitte la sienne pour tomber lourdement sur le sol. Son amour de toujours, lui, est partit il y a fort longtemps déjà, il y a plusieurs années, il y a six ans. Enfant non désirée qu’elle est, jamais elle n’a jamais comprit pourquoi elle n’avait pas de « Papa ». Son jumeau, sa moitié, a périt sous les flammes au début de l’incendie. Alors en cet instant, le regard vide vers les étoiles que l’on peut voir dans le ciel, visible à cause du toit troué, une horrible sensation de solitude lui écrase le cœur. Se levant en titubant et en toussant avec la fumée, elle sort du mieux qu’elle peut de la maison, sous le regard de ses « sauveteurs » et du voisinage curieux. Elle s’écroule à terre, vidée de toute énergie, serrant dans sa main cette petite clef dorée que sa mère lui a donnée. Elle est tellement belle, c’est la première fois qu’elle la voit. Mais si cet incendie était le prix à payer pour la découvrir, alors elle aurait préféré ne jamais la voir. Ses paupières deviennent de plus en plus lourdes et finalement elles se ferment entièrement, laissant l’enfant innocent entre les bras de Morphée.

A son réveil, elle était dans un endroit qui lui était inconnu. Elle se leva péniblement de son lit et quitta la pièce, errant dans la demeure sans savoir où aller. Elle finit par arriver dans le salon, dans lequel un médecin et une dame âgée parlaient sérieusement. Elle s’approcha d’eux et les deux personnages se mirent à lui sourire. A lui sourire, à elle, n’avaient-ils donc aucune humilité ? Se rendaient-ils seulement compte à quel point c’était cruel de sourire à sa personne ? Non, évidemment que non. La femme s’agenouilla en face d’elle et l’enlaça.

« Je suis heureuse que tu sois réveillée. »

Menteuse. Tu es vieille, tu es trop maigres, tu n’aimes pas les enfants, tu étais fille de riches petite mais tu as perdu ta fortune, tu travailles ici car tu n’as pas le choix.

Son regard vide scrutait la personne en face d’elle et elle enregistrait dans un coin de sa tête tous les renseignements qui pourraient lui être utiles. A six ans, Eden était orpheline. Ayant perdue sa famille dans un incendie qui était apparemment volontaire, elle était seule. Seule, un bien petit mot pour représenter une si vaste sensation qui n’a pas de fin. Jamais elle ne s’arrête, toujours elle persiste, même si vous êtes entouré, parce que vous savez que ça ne peut pas changer. Et on espère, et on espère, et on espère, mais jamais le temps passé et l’espoir ne changeront cette solitude. Car même si à six ans on ne comprend pas tout, on se rend bien compte qu’il manque quelque chose. Orphelinat, ce qu’elle peut le détester ce mot et c’est maintenant là qu’elle vie. Elle joue, sourit et rigole mais jamais on ne la voit pleurer.

Tout le monde croit qu’elle ne souffre pas. C’est faux. Evidemment qu’elle souffre, évidemment qu’elle verse des larmes, vous ne les voyez juste pas, parce qu’en fait, vous n’en avez rien à faire d’elle. Elle est juste une amie comme les autres, un de ces autres orphelins qui n’a rien demandé. Et tout ça, allait bientôt changer.


Une, deux, trois, quatre, les années passèrent et toujours Eden se sentait seule. Quel que soit l’endroit, le moment et peu importe les gens qui l’entourait. Un regard vide et blessé qui criait au désespoir et que personne ne semblait entendre. Quatorze ans. C’est à cet âge là qu’elle rencontra enfin le changement.


Alors qu’on l’avait simplement envoyé faire de banales commissions et qu’elle en revenait, elle se trompa de chemin, malheureux lorsque ça fait tout de même huit ans que l’on habite au même endroit, et partit dans un coin abandonné de la ville sans s’en rendre compte. Elle comprit qu’elle s’était perdue lorsqu’elle s’arrêta devant ce qui semblait être une église en bien piètre état. Une partie du toit manquait, il y avait des éboulements partout, mais malgré tout, cet endroit était magnifique. Une verdure entre le sauvage et la cultivée était présente, verdoyante, un épais lierre remontait les parois de l’édifice, s’incrustant dans plusieurs pierres, et l’on put deviner que des fleurs poussaient à l’intérieur par une odeur sucrée naturelle. Admirant le bâtiment, elle s’approcha lorsqu’une mélodie lui monta doucement dans la tête. Un piano, elle en était sûre. Elle ferma les yeux et se laissa guider par ce morceau à la fois si triste et beau. Quelque chose de nostalgique, de mélancolique, émanait de cette musique. Lorsqu’elle s’arrêta, elle se trouvait dans le bâtiment, son sac plastique dans la main. Comme elle avait put l’imaginer, des fleurs dans les tons roses pales, bleus clairs, blancs neige et jaunes soleil se trouvaient sur le sol, mélangeait à l’épaisse verdure. Un piano était installé au centre de la pièce, alors même que des pierres du sol manquaient, creusant des trous dans la roche. Le morceau s’arrêta et elle fixa la personne qui jouait. Au début, elle ne distingua pas son visage car il était de dos, mais une longue chevelure blonde retint son regard. Lorsque cette personne tourna la tête, elle émit un sourire avant de se lever et de s’approcher d’Eden. L’homme, car oui, c’en était un, caressa sa joue et lui dit doucement ;


« Pourquoi pleures-tu jeune demoiselle ?
-Je ne pleure pas.
-Ton corps non mais ton âme cri à l’aide, il faudrait être aveugle pour ne pas le voir.
-Alors je connais beaucoup de personnes qui ont perdu la vue, monsieur.
-Appelle-moi Sébastien veux-tu ?
-Et appelez-moi Eden, jeune demoiselle c’est un peu trop guindé. »

Sébastien se mit à rire, mais pas d’un rire moqueur, d’un rire doux et chaleureux qui résonnait comme une douce mélodie bienveillante. Sébastien invita Eden à boire le thé, ce qu’elle ne refusa pas, car après tout, le thé c’est sucré et tout ce qui est sucré est sacré pour notre jeune fille.

« C’est… Ici, que vous habitez ?
-Exactement.
-Mais ce n’est pas une vraie maison !
-Pour moi, si. Et vous Eden, où habitez-vous ?
-A… L’orphelinat de la ville.
-Il parait que c’est un bel endroit !
-Pardon ?
-Oui, j’ai des amis qui y sont et ils m’ont toujours décrit ce lieu comme un endroit de paix et de prospérité.
-Si on oublie la nounou alors…
-Ah ?
-C’est une véritable sorcière ! Elle n’aime pas les enfants, elle fait juste semblant !
-Comment pouvez-vous le savoir ?
-Je le sais, c’est tout.
-Eden, puis-je vous posez une autre question ?
-Oui allez-y.
-Si vous trouvez cet endroit si malsain et déplaisant, pourquoi ne pas habitez ici avec moi ? »

A cette question, Eden fut tellement surprise qu’elle en avala de travers et manqua de s’étouffer. Elle regarda le jeune homme dans les yeux et ne vit dans son regard qu’une proposition innocente et honnête.

« V-Vous plaisantez … ?
-Pas le moins du monde très chère.
-… Je ne peux pas.
-Tout le monde s’inquièterait et bla bla bla, pas vrai ?
-Oui…
-Oui, mais et vous dans tout ça ?
-Pardon ?
-Le plus important, c’est ce que vous et vous seule voulez, Eden.
- … Moi je voudrais bien mais…
-C’est vrai ?!?
-Oui… »

D’un seul coup, le regard du jeune homme se mit à briller comme celui d’un enfant de six ans. Il prit la main d’Eden et lui fit danser la valse en rigolant et en chantonnant. Eden, elle, rigolait joyeusement, ce qu’elle n’avait pas fait honnêtement depuis plusieurs années. Elle rentra le soir même, faignant l’indifférence sur l’heure et était encore plus joyeuse qu’avant. Le lendemain, comme promit, Sébastien vint à l’orphelinat et fit une demande d’adoption qui se finalisa trois mois plus tard.

« Ce sera ta chambre !
-… Vous plaisantez ?
-Pas du tout ! »

Elle regardait le tas de feuilles et de fleurs par terre. Oui et bien… Ca ne changeait pas vraiment du reste.

« Et vous ? Où dormez-vous ?
-Je t’ai déjà dis de me tutoyer Eden !
-Répondez à ma question.
-Avec toi évidemment ! Et tutoies-moi nom d’un Panda ! »

Elle lâcha son sac, bouche-bée. De un, d’où il sortait des expressions aussi… Voilà quoi. Et de deux…

« PARDON ?!? »

Ouais. Eden quoi.

Le choc eut du mal à passer, apprendre que l’on va dormir avec quelqu’un, du sexe opposé, qui n’a que deux ans de plus que vous, ça fait louche. Elle lui lança un regard en biais, pour dire : Tu tentes quoi que ce soit, je te promets que je te ferais passer l’envie de recommencer…

Finalement, un train-train quotidien s’installa dans leur petite vie. Sébastien était musicien et tout les jours de fêtes ou de marchés, Eden dansait et chantait sur la place pendant que lui et ses amis jouaient pour l’accompagner. Ils gagnaient suffisamment d’argent pour vivre correctement et Eden arrivait enfin à sourire pour de vrai. Sa clef, qui était toujours à son cou, accrochée sur un ruban pourpre, lui donnait un aspect enfantin. Mais cette clef attira la curiosité de Sébastien, et il n’aurait pas du la lui…

« TU N’ES QU’UN VOLEUR ! Rend-la moi Sébastien ! Rends-moi cette clef ! »

Il lui sourit et agita la clef au dessus de sa tête pendant qu’elle, elle essayait de l’attraper.

« Non, non, non ~ On va se faire un beau petit paquet d’argent avec ça. »

Folle de rage, elle réussit à attraper la clef, mais dès qu’elle fut en contact avec, un grondement se fit entendre. Elle n’y fit pas attention pendant que le ciel devenait menaçant. Elle lui mit une gifle, clef en main et lui lança un regard venimeux.

« Tu ne vaux pas la peine que je me fatigue, tu me répugnes ! Tu ne sais même pas tout ce que cette clef représente pour moi !
-Allons, Eden, ce n’est que de l’or voyons, donne-la moi.
-NON ! »

Le bruit d’un éclair retentit et se dernier descendit tout droit sur l’homme, l’électrocutant. Il n’y survécu pas, mourant sur le coup alors qu’Eden, en pleure, se laissait aller par terre. Une voix rassurante ce fit cependant entendre.

« Viens mon enfant… Laisses-toi guider… »

Elle sentit ses paupières s’alourdirent et elle plongea dans un profond sommeil.

Maintenant, Eden se réveille. Elle est devant l’académie. Comment est-elle arrivée là ? Elle ne le sait plus exactement. Que va-t-il se passait maintenant ?

Ca, c’est à nous de l’écrire.

♦ Derrière l'écran. ♦

Âge : Nyahaha ~ Sexe : Féminin Personnage sur l'avatar : Gumi | Megpoid Code du règlement : [Ok par le Boss] Autre chose ? : LES PANDAS AU POUVOIR ! >w<

© Codage par Squeezy de Cocktail Graph'.
Reproduction interdite.

Bienvenue *w*

D'où viens-tu?

Bienvenue ! Déjà, un truc qui me frappe, c'est que tu as mis le même titre qu'une autre présentation sur une Vocaloid dans un forum non Vocaloid, juste le nom et l'ordre de changés. Pur coïncidence ? Deuxièmement, une autre détentrice de la météo ! Merci d'avoir choisis cette clé ! *S'agenouille respectueusement.* Et troisièmement, je crois que je vais adorer ton personnage. Une petite gamine malchanceuse qui a peur d'être seule, ça me rappelle trop quelqu'un... Enfin, voilà quoi, bienvenue ^^ !

Merci à tous les deux d'abord ~ ♥

Michael : Du partenariat d'un partenariat d'un partenariat d'un partenariat d'un partenariat d'un partenariat mais bref, à la base d'un forum sur Black Buttler ( *O* )

Eins : Heu... Peut-être si tu me dis le nom du forum peut-être que je le saurais, désolé >>" Les clefs de la météo vaincront ! u^u Et si tu adores mon persos ben ce serait cool parce qu'elle serait plus seule déjà >%D //SBAFF//

Je peux te faire un câlin ????

Spoiler:

Owi un câlin ! *O*

Spoiler:

x) (je t'aime akise )

/me câline Eden

Le forum c'est Highschool Pandora u_u. Et les câlins de Asch' en tout particulier sont sacrés u_u.

Merci ma cherie :3 ...

/me câline Eden et Eins.

Owai j'ai des câlins !!!! *saute de joie partout et se prend un mur*

Eins : Envy Lullaby Tenshigari au rapport m'dame ! >%D Et pis tous les câlins sont sacrés, je crache pas dessus hahaha ! %D //PAN//

Ahem.

Citation :

Le forum c'est Highschool Pandora u_u. Et les câlins de Asch' en tout particulier sont sacrés u_u.

C'est croh gentil :3 .

/me câline Eden <3.

Bon, merci d'arrêter le flood sur la fiche, y'a un topic approprié pour ça.

C'est bon, on a le droit d’accueillir civilisièrement une nouvelle u_u.

Ben vi on lui fait des câlins,c'est gentil :3

Oui mais là c'est du flood, un simple bienvenue suffisait.

Vraiment heureux d'être t'as peluche :3 .

(mon 600éme post en passant).

au risque de me répéter.

Bienvenue hohohoho.

Bienvenue ! ^^ Ouais, moi j'fais pas de câlin ! Bonne chance pour l'histoire de ta fiche ! ( Fight ! \(^O^)/ ) Au plaisir de RP avec toi~

Asch : Owi t'es mon doudoutropbalèzedelamortquituelesméchantspasbô è^é

Etsuko : Merci madame mère Noël !

Lila : Tu fais pas de câlins ? Même pas un tout petit petit petit petit petit petit ? ;.; Sinon merci ~

oH c'est si triste , c'est décodé je ne te quitterai plus. Promesse de peluche.

-Dis maman, pourquoi les crépitements des flammes se percutent dans mes oreilles ?
-C’est pour mieux te faire souffrir en cet instant, mon enfant.

Okééééééééééééé... Sinon, j'adore ton histoire *o* ! J'ai hâte de faire un RP avec toi !

Tu écris magnifiquement bien ! *.* L'histoire est triste mais t'a quand même réussi à me faire sourire... T'es trop forte ! O.O Pour la peine, je veux bien te faire un gros câlin ! Ce serais un plaisir de RP avec toi !

Merci à tous les trois ! :3

Asch : T'façon j'te laissais pas le choix è^é

Eins : Ouais mais... Elle avait une mère très sympa la Eden >%D

Lila : OWAI UN CÂLIN ! >W< Que de compliments, ça me fait plaisir, surtout que ça ne fait que... Quelques mois que je RP et écris donc bon, j'suis débutante quoi >>'

C'est vrai que c'est supra bien écrit quand je regarde bien. C'est tellement agréable à lire que j'm'en rends pas compte ^^ ! (Oké, j'arrête de flooder.)

C'est vrai, sa se lit sans difficulté ;p .