I hate this game. [Pv : Sébastien]

"I hate this game"

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I hate this game. [Pv : Sébastien] 928382

-Où.... Où suis-je ?

Je m'étais réveillée dans un endroit inconnu, un endroit sombre et froid, un endroit où la chaleur et l'amour ne faisait surface. Au début, je me disais que c'était un rêve, que ce n'était pas réelle, je me suis cogner la tête, pincer la joue, mais c'était bel et bien la vérité. Peur, crainte, ces mots me hantaient. Après avoir analyser dans quelle situation je suis, je commençais à analyser ce qu'il y'a autour de moi. La déco' était vraiment laid, à croire qu'ils sont trop pauvres pour ça. Sur la table, j'avais remarqué une lettre, elle m'était peut-être destiné. J'avais ouvert la lettre avec soin.

- Mais... Qu'est-ce que ça... ? Suis-je vraiment consciente et non endormie ?

Inutile de se recogner la tête, ce n'est pas agréable. Je relisais et analysais la lettre, et je prenais conscience dans la situation dans laquelle je suis. Je regardais par les barreaux du cellule, des monstres... ?

- Vous vous foutez de moi là ?!

Paniquée, j'étais paniquée, angoissée. Comment je peux sortir d'ici... Ah oui, ma clé, oui ma clé peut me sauver ! Je fouillais mes poches, rien. Mais je ne veux pas crever ici bordel ! J'examinais la lettre une nouvelle fois.

- " J'ai utilisé ce que vous devez vous servir en tant que mot dans la lettre. "

Tu parles, déjà que je suis pas futée alors me sortir ça... Mais qu'est-ce que je peux bien faire ? Je tapais sur le barreau pour essayer de sortir, je prenais les objets des environs pour taper sur le barreau, rien, ce barreau était plus dure que le métal.

Je haïs ce jeux, Julien, je suis perdue, aide-moi...

J'entendis comme un bruit et me réveilla doucement, j'étais dans une pièce sombre et noire, le sol et les murs était en pierre, je me releva durement et m'appuya contre le mur. Je vis une folle entrain de frapper sur les barreaux comme une dératée, je resta discret et vit une lettre dépassé de ma poche, je la prit et la lus en vitesse.

" Bienvenue bienvenue dans votre imagination ! Je me nomme Klay, monstre originaire des terres du sud. Je vous ait tous "invités" à une petite fête organisée par mes soins. Ce qui explique la lettre que vous avez entre les mains, et la salle dans laquelle vous êtes. Vous êtes dans ma prison, gardée et surveillée par mes hommes de mains. Vous devrez trouver votre propre moyen pour sortir de cette prison et rentrer dans votre imagination. Un petit indice : J'ai utilisé ce que vous devez vous servir en tant que mot dans la lettre. Bonne chance à vous, chers invités. J'espère vous voir au sommet. "

Connerie pensais-je en premier. Mais attendais, je... j'ai été... aggacé? Mes émotions! J'ai a nouveau des émotions?! Vite où est ma clé?! Quoi?! On se fous de ma gueule?! J'ai plus ma clé! J'hurla de rage.

" Mais c'est quoi cette merde?! Où est ma clé?! "

Je me stoppa 10 seconde, j'avais oublié qu'il y avait une folle juste a côté de moi.

Accompagné d'un fou.

Pourquoi lui ?

Je me retournais. Je vit un garçon qui était en train de gémir de haine.

- Mais... T'es qui toi... ? Je lui posais la question avec un peu de doute vu que je ne le connaissais pas.

- Hum... Je suis Sébastien Sombrespoir, et toi?

- Je... Je suis Watashi Sashima. Sais-tu où nous sommes ?

- Non, je n'ai pas le moindre idée où nous sommes.

Alors q'il me répondait, je suis assez étonnée du calme donc ce garçon émane de lui. Dans une telle situation, on aurait tous pété un câble, mais lui, on dirait qu'il s'en contre-fiche. Je me demandais ce qu'il faisait pour garder son sang-froid, je lui a i posé la question.

- Tu n'as pas peur ?

- Non.

- Pourtant, ces monstres sont bien effrayants, comment fais-tu pour rester indifférent face à cette tournure ?

- Disons simplement, que c'est une habitude que j'ai prise, mais bref, as-tu vus ma clé?

- Tu es aussi un détenteur de clé ?

- Oui. As-tu vus ma clé ?

- Non, je ne trouve pas non plus ma clé...

- Bien, merci quand même.

Quelle étrange garçon...

- Derien. Bon, pour pouvoir s'échapper d'ici, il faut détruire le barreau.

Je m'empressa de prendre des meubles que je trouvais, et, je les tapaient sur le barreau. Rien à faire, ce barreau est trop solide. Alors que je continuais à essayer de m'échapper, Sébastien m'observa du coin de l'oeil. J'ai l'impression qu'il me prends pour une folle.

- Calme-toi, rien ne sert d'utiliser la force dans ces moments, utilisons nos méninges. Me disait-il.

Il avait pas tord, je devrais me calmer.

- Analysons la lettre.

Il mettait la lettre sur la table. Nous l'analysons tout deux dans le calme.

- " Vous devrez trouver votre propre moyen pour sortir de cette prison et rentrer dans votre imagination. Un petit indice : J'ai utilisé ce que vous devez vous servir en tant que mot dans la lettre. "

Je ne comprenais pas, comment est-on censé trouver la réponse sur une bête feuille...

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Je commença alors a analyser la chose.

" Bon voyons voir ce bout de papier... Alors. Vous devrez trouver votre propre moyen pour sortir de cette prison et rentrer dans votre imagination. Un petit indice : J'ai utilisé ce que vous devez vous servir en tant que mot dans la lettre. Donc la clé de notre cellule est un mot dans cette lettre. "

J'élimina donc les mots de la lettre et continua a réfléchir.

" Donc, les mots restant sont: moyen, prison, imagination, indice et lettre. Hum... Tous ces mots doivent avoir une certaine liaison... Réfléchissons, peut-être une phrase caché en utilisant les mots de la lettre. "

Je commença a réfléchir tout en regardent le reste de la cellule, les dalles en pierre, des barreaux pas cassable avec le mobilier... Le mobilier! Je regarda alors les meubles que Watashi avait utilisé: Ils étaient en parfait état!

" Je commence a comprendre certaines choses et je crois avoir trouver notre mot. Si on réfléchit et qu'on supprime les mots inutiles, il ne nous reste qu'un mot: Imagination. Donc la clé pour sortir de la cellule serait notre imagination? "

C'est assez irréaliste mais, le fait que je sois habillé alors que j'étais dans mon lit et le fait que je ne vois pas Cheshire. Sa peux expliquer des tas de choses. Je regarda Watashi avec un air un peux con.

" Par contre... C'est quoi l'imagination? "

"Imagination... ?"

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L'imagination... Est-ce vraiment la clé de la sortie ? J'en doutais. Est-ce qu'imaginer des choses peut-nous sauver ? J'ai beau penser à Julien, à ses yeux bleus donc je me perds chaque jours, rien ne m'est apparue... Alors que je cogitais si cela était la clé de notre réussite, le garçon me demanda ce qu'est l'imagination.

- L'imagination hum... Je pense qu'on doit réfléchir, non, imaginer des choses dans notre tête, enfin, je pense...

J'étais un peu perdue sur ce mot, le garçon aussi d'ailleurs. Nous cogitions tout deux dans notre coin. L'imagination, c'est le fait d'imaginer des choses ce qu'on voudrait qu'il se réalise, imaginer quelque chose dont nous désirons plus que tout, imaginer.

Ahlala, ce que cette endroit est vide, avec un peu de chanson, cela animerait cette endroit morbide, mais je ne pense pas que les monstres soient d'accord. Alors que je me remémorai ma chanson préféré, la chanson sorti de mon esprit et on entendu ma chanson. Mais... Que se passe-t-il ?! Je me retournais vers Sébastien, lui aussi choqué.

- Tu as entendus... ?!

Alors qu'il n'avait pas encore ouvert la bouche, le gardien était venu nous voir, il avait la tête d'un cochon avec des yeux rouges, quelle horreur... Quand il vit que rien ne se passait, il retourna à son poste. Sébastiens me regarda à nouveau, avec quelque sueur, il me sortit un " oui ".

- Mais que se passe-t-il... ?!

Je vais devenir folle, je le sens.

" Chier, cette endroit est gardé par des sanglier mutant. "

Cette endroit à la con était donc gardé... Vas faloir être prudent ou bien... Je me mit au centre de la pièce et enleva mon haut révélant une tatouage qui me parcouraient tous le dos. Je ferma mes yeux et visualisa des habits. Un sceau apparus en dessous de moi et je me mis a crier quelque mot.

" Nomobuyo, Oshi, Hashitawa, Dokeda, Gunmicha, De, Ribura!!! "

La salle s'éclaira d'une lueur blanche très forte et aveuglante. Le garde rappliqua en vitesse mais fus accueillis par un coup de lance qui le trancha en deux, quand la lueur s'arrêta je portait ces mêmes vêtement que j'avais imaginé: je portais un long manteau bleu fonçé avec un pantalon marron clair et des bottes avec de gros talons pour me donner de l'impulsion, je ne portais rien en dessous du manteau et par contre mon avant-bras droite ressemblé a une sorte de main de démon. Je regarda Watashi avec un petit sourire.

" Un petit effet de surprise et il tombe comme des mouche. Néanmoins j'avais raison, si on pense suffisamment fort a un truc, il deviens réalité. C'est finalement un bon point d'être ici. Dépêche de te ré-équiper et d'invoquer ta clé, on fous le camp de ce bahut à la con. "

Je me retourna et fixa le mur devant la cellule, je préfère évité de la regarder pendant qu'elle se ré-équipe car sinon on vas 'core dire que je fais des choses qu'il faut pas faire... Je rougissais un peu d'ailleurs.

" Dépêche quand même... On... On a pas tout notre temps..."

La sortie... Or not.

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❝

- Ne... Ne me regarde pas... lui disais-je, gênée.

Fini de me ré-équiper, je me tourna vers Sébastiens, et lui proposa une idée.

- Si on peut invoquer des choses grâce à notre imagination pourquoi devrons-nous nous limiter aux clés ? Nous pouvons invoquer des armes, des lances, des bêtes, et encore ! Si cette endroit laisse libre à notre imagination, alors imaginons les choses auquel on a rêvé et invoquons-les !

Je pensais à un pouvoir, un pouvoir qui serait collé à mes mains, un pouvoir m'est unique, mon pouvoir. Et, comme l'avait dit Sébastiens, le pouvoir dont j'imaginais était apparu dans mes mains.

- Tu vois Sébastiens ! C'est tellement chouette !

Sébastiens acquiesça avec un sourire. Je tranchais le barreau qui nous emprisonnais sans trop de difficulté, quand on fut sortit de cette cellule, on vit le gardien qui se rua sur nous, mais Sébastien l'envoya aux paradis avec son pouvoir. Tout deux, on vit un escalier qui nous menais en bas, j'étais tellement contente à l'idée de sortir de cette endroit morbide, Tout deux, descendions les escaliers, j'étais tellement impatiente de sortir !

- Aller, vite Sébastiens, vite vite ! lui lançais-je.

Il me répondit avec un sourire et se hâta un peu.

Arrivé en bas des escaliers, nous vîmes une porte, était-ce la sortit ? Nous entrâmes dans la salle, ce n'était pas la sortie.

[HS] : Fin pourrie mébon. xD

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